18 mars 2014

Réalisation d'une composition numérique

Cela faisait longtemps que je voulais réaliser un tableau numérique. Je l'ai appelé "Regard sur la création".


En voici les étapes de la réalisation.

Au départ, une photo d'un endroit impressionnant prise en Australie.
Mais la photo, faite le matin et à contre jour, n'est pas très intéressante.



Après un premier traitement dans Photomatix Pro, elle devient exploitable pour mon projet.



Je décide d'y ajouter plein d'animaux, comme on peut voir autour des points d'eau, où une faune variée se regroupe.

Je commence par sélectionner une photo de girafe.



Commence le long travail de détourage dans Photoshop pour récupérer l'animal hors de son contexte.



Il faut faire de même avec tous les autres animaux !

Le zèbre, le lézard, l'aigle, l'hippopotame, les oiseaux... toutes des photos prises en Afrique du Sud et en Namibie.

Un arbre complèterait bien le décor, allons le chercher dans le désert...




Il ne reste plus qu'à mettre en place tous ces éléments de façon naturelle et harmonieuse.



Ajouter l'arrière plan.



Mince, le ciel est laid, tout blanc !

Je trouve un beau ciel dramatique pris de ma maison.



Que manque-t-il au tableau ? L'oeil du créateur.

Un graff pris à Rouen me plait par son regard.



La composition est terminée, il ne reste plus qu'à ajuster les couleurs, les contrastes et à régler l'éclairage dans Photoshop pour donner l'ambiance.



4 commentaires:

nicole T a dit…

Connaissant un peu photoshop et les techniques que ça permet je vois le boulot énorme que ça représente !
Bravo pour l'idée, et les processus de composition ! C'est vraiment beau !

Anonyme a dit…

Je découvre avec Rémi comment on peut peindre avec de la photo ou photographier pour peindre! Ce n'est qu'une remarque de béotien en matière de technique sur la toile...du net!

gbjc76 a dit…

C'est effectivement un boulot très technique, imaginatif et très bien réalisé. Je me demande comment tu as pu fondre l'œil dans le ciel. J'veux qu'on m'explique...

Rémi Bourdel a dit…

Quand tu veux Gérard :-)